IIe congrès (Angers, 3-5 novembre 2023)

Réflexion syndicaliste révolutionnaire

Le Manifeste de l’UCL a défini la pratique syndicaliste révolutionnaire de notre courant politique. Mais reste une question importante : dans quelles organisations l’inscrire ? Quelle logique d’intervention libertaire développer ? Une analyse du paysage syndical français s’impose, ainsi qu’une réflexion sur l’éclatement du syndicalisme de lutte et les voies d’une possible unification.

 

Il faut cesser immédiatement le carnage en Palestine

Au moment où se tient le IIe congrès de l’Union communiste libertaire, la Palestine est toujours en proie à une tuerie de masse, sans précédent dans l’histoire du conflit israélo-palestinien. L’UCL exige l’arrêt des bombardements, la fin de l’apartheid, du colonialisme, et le respect des droits du peuple palestinien.

 

Pour une contre-offensive trans

Une motion qui réaffirme le soutien de l’UCL aux luttes trans et en dresse les contours idéologiques, revendicatifs et stratégiques.

 

Former pour la révolution

Depuis la création de l’UCL il y a quatre ans, de nombreuses formations ont été dispensées, il est temps de leur donner une véritable cohérence globale :

  • une politique de formation fédérale, qui permet une plus grande unité et égalité entre les militantes, et qui ne se pense pas en terme d’émancipation individuelle mais collective ;
  • un suivi des camarades au cours de leur engagement à l’UCL, notamment lorsqu’ils ou elles ont besoin de formations pour les outiller à prendre des mandats locaux comme fédéraux ;
  • une réflexion politique et stratégique globale sur ce que doit être notre politique de formation ;
  • l’accompagnement des camarades tout au long de leur parcours militant à l’UCL, avec des cycles de formations qui leur permettent de prendre confiance et d’être outillées pour participer à la construction de contre-pouvoirs révolutionnaires.
 

L’intervention des communistes libertaires dans les mouvements sociaux des quartiers populaires

Lors des révoltes de novembre 2005, le constat de l’abandon militant, social et politique des cités par les courants d’extrême gauche fut plus que flagrant. A l’occasion des révoltes qui eurent lieu en juin 2023, on a pu constater une évolution, fruit des engagements des années d’intervalle suite au sursaut de 2005 : Alternative libertaire s’était alors engagée dans la création d’une commission antiraciste, et en 2010 fit voter un texte de réflexion et d’intervention dans les quartiers populaires, que nous réactualisons ici.

 
 
☰ Accès rapide
Retour en haut